Ont participé : Lucien Arnaudo, Carole Belin, Palma et Philippe Borg, René Champseix, Charly Conil, Josiane et Jean-Pierre Cotta, Brigitte et Bernard Fantauzzi, Mireille et Philippe Ferderzoni, Gisèle et Robert Matteoda, Edith et Claude Morice, Didier Perez, Solange et Charly Perisi, Arlette, Jean-Claude et Alizée Silvy, Jean-Baptiste Teverini, Babette et Guy Wallner, Daniel Waschman, Didier Wary, Lucie et Henri Zuliani.
Peu d'entre nous auraient parié, le vendredi précédent où la neige tombait bas dans la région, que les conditions météo opéreraient un tel revirement (prévu, il est vrai) en ce dimanche 24 novembre.
Malgré tout, le matin, sur le parking de Cap 3000, la température n'était pas torride et le café impromptu proposé par Lucie et Henri avec quelques viennoiseries a été apprécié à sa juste valeur. Heureusement ensuite le temps n'a cessé de s'améliorer pour finir avec quelques rayons de soleil en seconde partie de journée.
Le plaisir de retrouver les vieux anciens copains a été renforcé par la rencontre avec de nouveaux adhérents : Mireille et Philippe Federzoni pour qui c'était la 1ère sortie avec nous. Par précaution, leur 15/6 ayant quelques ennuis de carburation, ils étaient venus avec leur belle deuche (sans jeu de mots) jugée plus fiable. C'était mal connaître la versatilité de nos anciennes : la leur a cassé son câble d'accélérateur à la sortie de Gattières. Ce qui aurait pu être un point final à la randonnée n'a juste été qu'un contre-temps fâcheux grâce au coup de fil à un ami (ayant de quoi dépanner). C'est donc soulagés, que nous les avons vus nous rejoindre au début du déjeuner, après un jeu de piste bien involontaire (pas de téléguidage possible : les portables ne passaient pas !).
Entre temps nous avions suivi l'itinéraire prévu par Jean-Baptiste et Elio, sur les petites routes entre la Gaude et le Broc, illuminées par les magnifiques couleurs des feuillages d'automne.
Contrairement à notre première venue en ces lieux (lien : 4 octobre 2009), la route (la piste ?) de la Clave était ouverte. Ouverte mais toujours aussi étroite et c'est avec une extrème prudence que les 3 derniers kilomètres ont été parcourus.
Après la passerelle toujours aussi ondulante, et les 300m du sentier toujours aussi bucolique (mais heureusement qu'il ne pleuvait pas !), la destination était atteinte : l'heure des comparaisons pour ceux qui étaient déjà venus, de la découverte pour les autres. Pour tous, la constatation de la magie qui émane de cet endroit que l'on croirait retiré aussi bien du monde que du temps.
Le repas, orchestré par Gino, le maître de céans, se déroulait sans encombres, comme c'est normal entre gens de bonne compagnie, le menu (choix sur place pour les 2 plats) a satisfait tout le monde. Un accordéoniste était même présent et a assuré l'ambiance musicale avec des airs en accord avec l'âge de nos autos (et de notre âge ?). D'où la possibilité d'esquisser quelques pas de danse pour qui voulait, après dîner.
En partant, Henri avait prévu, pour l'anniversaire de Lucie (Joyeux anniversaire, Lucie !) d'offrir le champagne. Ca a été fait sur le parking, juste avant l'arrivée de la Gendarmerie Nationale (Papiers du véhicule, si you plé !) alertée par des voisins obligeants qui avaient crû que nous avions emprunté la "passerelle du raccourci", interdite au public et dûment cadenassée : impossible à franchir pour des non-acrobates (ce qui était notre cas). Le quiproquo était vite levé comme c'est normal entre gens de bonne compagnie, et nous nous sommes séparés (des copains, pas d'avec la Gendarmerie) en nous donnant rendez-vous l'année prochaine : c'est sûr que nous le voulons bien, Lucien Jeunesse n'aurait pas dit mieux.
Merci à Carole et à Sosso pour leurs photos (et à Sosso pour le tri et le choix : pas facile).
Lien vers le site du Domaine : Au Temps des Cerises.