2015 08 15 - Bouchon de Tourves

PHOTOS

VIDEO

Un reportage à ne pas manquer : le bouchon par J.P. Versini

et un autre, 230 photos : le bouchon par Francis Hournon

C'est indiscutable : le Bouchon de Tourves mérite bien sa réputation.
L'organisation est parfaite, rien n'est laissé au hasard, ainsi, par exemple, chaque véhicule (au départ) est affecté d'un n° d'ordre pour éviter les "paquets" de voitures identiques et donner ainsi l'impression d'une circulation réelle.
Le café-viennoiserie d'accueil, la plaque de rallye et la gestion de la "traversée" de Tourves qui n'a rien d'un désert pour l'occasion, la logisqtique du repas, tout est bien pensé et on sent la grande expérience dont font preuve les membres de l'Association :

Toujours discret mais terriblement présent, le grand Maître de la journée semble doté d'un don d'ubiquité: à l'accueil, au micro, sous le barnum, toujours souriant et disponible pour discuter avec ses innombrables "followers", vous aurez reconnu j'espère, notre ami Thierry sans qui cette manifestation ne serait pas ce qu'elle est. Un grand merci à lui.

Article du Nice-Matin du 16 août :

Difficile à croire, mais des centaines de touristes ont pris un plaisir convaincu à se jeter dans les bouchons du 15 août. Que l’on ne s’y trompe pas, des embouteillages, certes, mais d’antan. En véhicule d’époque
Circulez, il y a en a des pièces de collection à voir! Hier matin, à Tourves, près de Brignoles dans le Var, comme tous les deux ans désormais, klaxons tonitruants et fumées épaisses de pot d’échappement ont pétaradé dans une parade vintage et enjouée. Un défilé emmené, telle une joyeuse pagaille, par un « gendarme » maitrisant aisément l’art du sifflet face a des conducteurs dissipés et de vieilles machines capricieuses. La Nationale 7 au temps des Trente Glorieuses, comme si vous y étiez. Les nostalgiques s’en souviennent avec douceur. Les années soixante... La mythique RN 7 était alors la seule voie rapide en direction de la Côte d’Azur, déjà prisée. Les bouchons mémorables dans les villages étaient donc le prix à payer pour le chassé-croisé des juillettistes et des aoûtiens. A l’époque, on savait peut-être mieux les apprécier... CH. CHEMIN